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Le petit Hugo.

Hugo était un enfant qui habitait avec ses parents et son grand-père. La maison était grande mais ancienne ; cependant, le jardin donnait une odeur d’herbe verte, comme s’il avait plu, ce qu’Hugo adorait. Aussi, dans le centre il y avait un potager où poussait beaucoup des légume qu’Hugo récoltait avec son grand-père tous les après-midis.

Il aimait jouer avec ses amis, sortir à la campagne, écouter les oiseaux chanter, observer les étoiles, peintre et lire. Chaque nuit son cher grand-père lui lisait un récit, bien qu’Hugo croyait qu’il les inventait tous, Hugo écoutait attentivement. Quand les histoires avaient fini, Hugo continuait réveillé parce qu’elles sont très différentes et intéressantes.

Pour tout cela Hugo ne voulait pas grandir. Il espérait avoir cette vie pendant plusieurs années. Evidemment, le temps passe et il grandissait mais ses habitudes étaient les mêmes. En effet, chaque jour qui passait son grand-père était plus vieux et, à cause d’une mauvaise maladie, le soir du huit Décembre il entreprit son voyage jusqu’au nuageux ciel d’hiver. Le moment où sa famille a dit à Hugo qu’ils devaient changer leur maison, il s’est souvenu de son grand-père et de tous les mémoires qu’il avait dans ce lieu.

Ainsi, tous ses anniversaires, Hugo désirait être enfant ou de se devenir un petit garçon qui ne grandirait jamais. Cependant, ce désir était impossible en réalité. C’est pour cela qu’il rêvait sa vie de l’enfance éternelle, et Hugo l’écrivait dans son journal, où il avait, aussi, les histories que son grand-père lui racontait.

Un fragment du rêve dont je me souviens correspond à quelques annotations écrites par Hugo lui-même.

Hugo, le petit garçon qui ne voulait pas grandir, a décidé d’entrer dans la forêt de l’enfance. Quand il la traversait, soudain un arbre a commencé à parler et Hugo a eu peur. Toutefois, il marchait vers le soleil. Chaque arbre lui rappellait d’une expérience qu’il avait vécu pendant son enfance et avec son grand-père, spécialement.

« Chaque nuit, mon rêve avançait un peu et les souvenirs s’accumulaient dans ma tête. C’est pourquoi je me réveillais avec des larmes aux joues ; bien que je sois triste et mélancolique, j’espérais que la nuit vient pour pouvoir entrer dans mon monde magique et parfait. »

Les arbres l’avaient obligé à passer beaucoup d’épreuves à surmonter pour sortir d’un labyrinthe qui s’était devenu un cauchemar pendant plusieurs nuits. De plus, il a dû respecter des règles dans les épreuves pour trouver une clé qu’il devait conserver jusqu’à la fin de son trajet. 

D’une part, il a eu l’aide d’un oiseau qui l’a conduit par le meilleur chemin et, aussi, qui le protégeait des dangers. Il était son grand-père.

D’autre part, il y a eu la méchanceté du lézard qui l’a fait échouer plusieurs fois dans les épreuves mais, le merveilleux tapis volant, que Hugo pouvait utiliser trois fois, l’ont aidé à réussir.

Or, une nuit, quand il utilisait le fantastique tapis volant, il a pu être avec son grand-père et le sentir plus proche. Un moment qu’il avait toujours rêvé.

Finalement, et après avoir surmonté avec succès tous les pièges et les épreuves, il atteint son objectif. La clé, qu’il avait obtenu dans le labyrinthe, il l’a utilisé par ouvrir la porte de sa nouvelle maison.

À sa grande surprise, quand il est entré, tous ses ancêtres et, aussi, ses nouveaux descendants, étaient là. Toutes les mémoires de sa vie s’étaient accumulées.

Bien que ce ne soit qu’un simple rêve, sa vie continuait et son bijou était devenu réel parce qu’il était en train de profiter de son enfance réincarné dans son petit-fils, qui ne voulait pas grandir. Alors, il a trouvé tout ce qu’il croyait avoir perdu, excepté le temps passé à penser à son passé. Hugo a montré à ses enfants ce qu’il avait appris de la vie.

La morale de cette histoire est « Demain est un autre jour » parce que, bien qu’on ne puisse pas revivre le passé, il y aura toujours un demain pour en profiter.